Ouverte en juillet 2007, la Réserve a, depuis, connu une popularité grandissante auprès des touristes aussi bien que la population locale. L'idée de recréer l'écosystème original de Rodrigues sur une parcelle de terrain fut un rêve longtemps caressé et entretenu par deux environnementalistes Owen Griffiths et son épouse Mary-Ann Stanley. Les travaux de mise en oeuvre de la Réserve débutèrent en 2005 visant à restaurer le paysage de Rodrigues d'il y a plus de 300 ans, avant la colonisation et les conséquences désastreuses qu'elle causa à l'environnement naturel de l'île.
L'opération de recréer l'écosystème original implique l'éradication des espèces de plantes introduites surtout les pestes végétales, et la replantation en utilisant des espèces indigènes et endémiques les mieux adaptées à la savane de basse altitude de la Réserve. Une fois que les plantes s'adaptent et s'établissent, il est donc possible de réintroduire des espèces clefs d'animaux qui jadis auraient vécu dans cet habitat.
Puisque les centaines de milliers de tortues géantes qui vivaient jadis à Rodrigues sont aujourd'hui éteintes, deux autres espèces natives de la région de l'Océan Indien ont été introduites dans la Réserve, agissant donc comme analogues cumulant les rôles de brouteurs et dispensateurs de graines de deux espèces disparues.
Quelques 555 tortues de ces deux espèces ont été introduites dans la Réserve entre 2006 et 2007, et aujourd'hui le nombre avoisine les 1200 individus vivant en liberté dans la Réserve.
L'opération de recréer l'écosystème original implique l'éradication des espèces de plantes introduites surtout les pestes végétales, et la replantation en utilisant des espèces indigènes et endémiques les mieux adaptées à la savane de basse altitude de la Réserve. Une fois que les plantes s'adaptent et s'établissent, il est donc possible de réintroduire des espèces clefs d'animaux qui jadis auraient vécu dans cet habitat.
Puisque les centaines de milliers de tortues géantes qui vivaient jadis à Rodrigues sont aujourd'hui éteintes, deux autres espèces natives de la région de l'Océan Indien ont été introduites dans la Réserve, agissant donc comme analogues cumulant les rôles de brouteurs et dispensateurs de graines de deux espèces disparues.
Quelques 555 tortues de ces deux espèces ont été introduites dans la Réserve entre 2006 et 2007, et aujourd'hui le nombre avoisine les 1200 individus vivant en liberté dans la Réserve.